Depuis la fenêtre, je peux admirer un matin lumineux que seule l'aube reconnaît enfin. J'entrevois entre mes paupières presque closes le saule nu planté de ma main aux abords de la rivière froide. Je ferme les yeux et la lumière m'étreint comme si plus jamais elle n'allait me quitter. J'exulte en ce matin de décembre. | Au bout du quai by Francine Allard, Paperback | Indigo Chapters